5 minutes avec Kim Savaste

Rencontre avec Kim Savaste la nouvelle recrue du team Kawasaki Bud racing qui disputera sa deuxième saison sur le championnat d'Europe 125.


Après ton titre de champion du monde 85cc en 2014, quels sont tes objectifs pour l’année 2016 ? 
Après une mauvaise année 2015 suite à une blessure, mon objectif est de revenir à mon meilleur niveau pour cette nouvelle saison. Je souhaite avant tout être régulier et d’être dans le top 3 au cours de chaque épreuve. Bien sur le but est de remporter le championnat mais terminer sur le podium serait déjà énorme.

Cette année, tu as changé de structure, quelles sont tes impressions à propos du team, les motos, les personnes et l’atmosphère Kawasaki bud racing ?
Cette année je suis passé chez le team Kawasaki bud racing pour la saison 2016, Le team semble faire du bon travail et pour moi c’est une très bonne chose. On c’est beaucoup entrainé et nous avons fait beaucoup de testing sur la moto avec l’entraineur du team Thierry Van Den Bosch.

Peux tu nous décrire une journée typique de ton entrainement ?
Normalement je me lève a 7 h, je prend un petit déjeuner et je vais à la salle de sport, courir ou faire du vélo. Après le déjeuner, je vais m’entrainer, mes devoirs et je me relax. Je me couche pas trop tard pour bien récupérer.

Beaucoup de pilotes continue leur carrière aux états- unis, comptes-tu rouler outre atlantique un jour?
Rouler aux États-Unis est depuis très longtemps mon rêve, le niveau est très élevé et il faut travailler très dur pour être au top aux US.

Comment te décrirais-tu? 
Je suis sérieux et déterminer à toujours progresser, j’aime travailler dur et m’entrainer sur la moto.
 
Quel est ton terrain préféré sur le championnat du monde ?
Mon terrain favori est de loin celui de Matterley Basin en Angleterre, il est très bien fait et la piste est très bonne.

Quel est ton meilleur souvenir au cours de ta carrière ?
Mon meilleur souvenir est quand j’ai gagné mon titre de champion du monde 2014 en Belgique, et également ma première épreuve Emx au Danemark.

Adrien Dupuy

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